Les ânes aiment les chardons, et le fruit de l'égantier dont nous tirons le poil à gratter. J'habite un lieu où je protège ce piquant de la vie et j'écris pour opposer l'urgence du courage et de la réflexion à l'avachissement de l'époque.
En m'inspirant aussi de la patience, de la douceur, de nos amis les ânes. Modestine, l'ânesse de Stevenson, tiendra la plume à mes côtés. Les critiques et les contributions sont les bienvenues mais je préviens mes lecteurs que j'ai appris très tôt à porter fièrement le bonnet d'âne.
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