dimanche 18 avril 2010

Ciel sans nuages. Qu'il vienne et qu'il revienne, le temps des mongoles fières!


Le ciel est par dessus le toit si bleu, si calme
Nulle trace d’avions dans le ciel, repos de l’âme
En déroute, la réaction !
Avachis, quadri bi, réacteurs !
Ahuris, les grands prédateurs,
reu regardent passer les trains :
c’va durer jusque Saint-Glin-Glin ?
Oui, oui, oui, des trains ralentis
et  surtout arrêts garantis,
les sentiers le long des ruisseaux,
et lenteur des doux coches d’eau,
des ânes pour les lourds fardeaux !
Qu’il vienne, qu’il vienne le temps des mongoles fières
Qu’il vienne et qu’il revienne, 

le temps qui nous déprenne.

                                                                                 L'âne vert

1 commentaire:

Thierry D. a dit…

Une belle surprise, ce poème du dimanche !